Dates de péremption, qu’est ce qu’on garde ?

On parle de plus en plus de gaspillage alimentaire. Et il est probable que très bientôt les dates de péremption seront de nouveau étudiées pour éviter que de nombreux produits soient jetés inutilement. La population est de plus en plus sensible à ce gaspillage alimentaire. Il y a une prise de conscience salutaire car il y a encore beaucoup trop de nourriture jetée qui pourrait être réutilisée et mangée. Mais, il ne faut pas malgré tout faire du n’importe quoi. En effet, il en va de la santé de la famille. Jeter un aliment doit être justifié. Aussi, je vais essayer de faire le point de ce qui peut être gardé et ce qui doit être jeté par sécurité.

 C’est quoi la DLC et la DDM ?

J’ai déjà abordé ce sujet dans un article consacré au gaspillage alimentaire. 

  • La DLC ou Date limite de Consommation ou « à consommer jusqu’au » :

Elle concerne les produits dits fragiles comme la viande, le poisson, les plats cuisinés frais, les pâtisseries et les produits laitiers. Elle est obligatoire. Il est conseillé de ne pas consommer ces denrées après leur DLC car il y a un risque d’intoxication alimentaire. Ceci est conseillé par de nombreux organismes gouvernementaux. Mais, avec la lutte contre gaspillage alimentaire, il est possible de la dépasser. C’est le cas des yaourts qui peuvent être mangés jusqu’à 2 semaines après la DLC. La charcuterie emballée et les fromages peuvent également être consommés plusieurs jours après. Un bon moyen pour en être sûr c’est de sentir et regarder le produit. Si vous avez des doutes, n’hésitez pas à le jeter. Les produits dont la DLC est dépassée ne doivent pas être congelés.

Malgré la date indiquée, tous les produits ouverts doivent être consommés dans les 2 jours après ouverture.

 

  • La DDM (date de durabilité minimum) anciennement appelée la DLUO (Date limite d’utilisation optimale ou « consommer de préférence avant le … » ou « à consommer avant fin … ».:

Au delà de cette date, l’aliment est toujours consommable plusieurs semaines voir plusieurs mois ou années après la date indiquée. Il n’y a pas de risque pour la santé mais son goût et sa valeur nutritive peuvent être altérés. Avant de le manger, il faut toujours vérifier que l’emballage n’est pas abîmé ou bombé et s’assurer que le produit a un bel aspect et une bonne odeur.

Et les plats que l’on prépare, combien de temps on peut les garder ?

Il est fréquent qu’il reste un peu du gratin, de la quiche ou du plat que l’on vient de servir. Mais combien de temps peut-on les conserver sans danger ?

Dans tous les cas, les restes préparés doivent être stockés dans des boites hermétiques en plastique ou en verre avec un couvercle.

  • Les légumes cuits se conservent 3 à 4 jours
  • Les plats de viande cuite 3 jours à 4 jours
  • Les plats de poisson 2 à 3 jours
  • Les pâtisseries cuites sans crème 3 à 4 jours voir un peu plus pour les gâteaux faits uniquement de pâte comme le biscuit de Savoie, le gâteau yaourt.
  • Les pâtisseries avec de la crème ou des œufs crus ne doivent pas être conservées plus de 24 h, crème pâtissière, Chantilly, tiramisu,…
  • Les crèmes aux œufs pas plus de 2 jours.

Les aliments que l’on doit obligatoirement jeter :

Malgré la DLC ou la DDM toujours valable certains aliments peuvent être périmés et doivent être jetés par sécurité pour la santé. En effet, ils peuvent comporter des microbes très dangereux comme les salmonelles, les bacilles botuliques,… et provoquer de graves toxi-infections voire être mortels.

Ne pas conserver si :

  • les aliments comportent des moisissures sous l’emballage.
  • les boites de conserves sont bosselées ou ont un couvercle bombé
  • les viandes et charcuteries ont un emballage plastique gonflé
  • les œufs ont une date passée depuis longtemps ou effacée et qui remontent à la surface lorsqu’ils sont mis dans un verre d’eau, les œufs sont fêlés.
  • les viandes, les volailles ou les poissons qui ont une surface visqueuse ou qui dégagent une mauvaise odeur.
  • Les aliments contaminés par des mites alimentaires.

Les aliments qui ne se périment jamais :

Certains aliments ne se périment pas, même s’il y a une date sur l’emballage. Normal puisqu’ils servent de conservateurs depuis des lustres. C’est le cas du sel, du sucre et du vinaigre. Idem pour le miel même s’il se modifie avec le temps. Il se conserve même ouvert mais doit être stocké à l’abri de la lumière.

Les aliments qui ne se périment pratiquement pas :

Les aliments d’épicerie comme les farines, les fécules, le riz, les légumes secs, les céréales peuvent être gardés des années sans problème à condition d’être conservés dans de bonnes conditions (endroit sec et de préférence à l’abri de la lumières).

Les aliments qui se périment plus ou moins longtemps après la date de péremption DDM :

De nombreux produits peuvent être consommés longtemps après la date de péremption. Mais, l’emballage doit être intact. S’il est bombé, il devra être jeté. De même, si en l’ouvrant on constate des moisissures, une couleur ou une odeur anormal, il ne faut pas hésiter à jeter.

Les condiments comme la moutarde, le ketchup, les cornichons, les épices, les produits lyophilisés, les produits déshydratés, les biscuits secs, les confitures se conservent longtemps, plusieurs années. Ils perdront juste de la saveur avec le temps.

Le chocolat 2 ans. Quand une pellicule blanchâtre se forme c’est que le chocolat perd son goût.

Les fromages à pâte cuite plus de 36 mois, par contre les moisissures qui apparaissent à la surface doivent être retirées. Si elles sont réparties sur l’épaisseur, dans ce cas, le fromage doit être jeté. Par contre, les fromages type camembert ou Roquefort peuvent être consommés longtemps après la date. Normal puisqu’ils sont fabriqués à partir de moisissures. Quant aux fromages frais, la date de péremption DLC doit être respectée.

Les produits surgelés des mois après leur date de péremption. Mais, ils risquent de perdre de leurs qualités gustatives. Ceci à condition qu’il n’y ait pas eu de rupture de la chaîne du froid. Pour les surgelés maison, vous pouvez les garder 6 mois à condition que votre congélateur fonctionne bien.

Les huiles se conservent plusieurs mois voire plus. Par contre, elles peuvent devenir rance. Elles seront bonnes pour la santé mais pas au goût.

Les boissons gazeuses et sodas jusqu’à 9 mois.

Le beurre peut être consommé 2 mois après la date. Mais s’il devient jaune foncé, c’est signe qu’il a ranci mais il peut être utilisé pour la cuisson.

Les produits laitiers (yaourts, petits suisses, fromages blancs, crème fraîche) jusqu’à 3 semaines.

le lait et crème UHT 2 mois mais une fois qu’il est ouvert, il se conserve  2 à 3 jours.

Le jambon cru, le saucisson et autres charcuteries 2 semaines après ouverture de l’emballage

 

Sources:

Connaissances professionnelles et personnelles

Madame figaro d’avril 2019, Madame cuisine mai 2019, santé magazine, 60 Millions de consommateurs

Livres: Hygiène en restauration, Technologie culinaire

 

Les protéines de soja texturées

Vous êtes végétarien, végétalien ou flexitarien. Vous souhaitez réduire ou supprimer les protéines animales. Alors vous connaissez le tofu, le tempeh, le soja. Eh bien, il existe aussi les protéines texturées. Je les ai découvertes il y a peu par une nutritionniste québécoise. Au Canada, le végétarisme est bien plus développé qu’en France. Ainsi, on trouve dans de nombreuses fruiteries ou épiceries de quartier une grande variété de produits végétariens. Ce qui est loin d’être le cas en France à part dans les villes assez importantes. De même, dans les restaurants il y a un ou deux plats végétariens. Alors qu’en France c’est souvent la galère si on en veut un sans protéine animale.

Alors c’est quoi les PVT (protéines végétales texturées) ?

On les appelle aussi protéines de soja texturées et en anglais TVP (Textured Vegetable Protein). Elles sont obtenues à partir de la farine de soja déshuilée à froid. La farine est ensuite mélangée avec de l’eau et chauffée sous pression puis compressée en granules plus ou moins grosses, en boulettes, en galettes ou autre. Comme c’est un produit déshydraté, il se conserve très longtemps. A première vue, ce n’est pas très appétissant. Mais une fois cuisiné, c’est bon. On ne sent pas la différence avec la viande à condition d’être bien préparé.

On ne lui ajoute ni sel, ni sucre, ni additifs sauf pour certaines on trouve des colorants qu’il est préférable de laisser de côté.

Leur valeur nutritive :

Les protéines de soja ont une valeur nutritive très intéressante. Comme leur nom l’indique, elles sont riches en protéines en moyenne 50 % du poids du produit. Elles sont riches en fibres de 20 à 30 g pour 100 g. La quantité de lipides est un peu moindre par rapport à celle de la viande blanche et elles sont pauvres en gras saturés. Elles sont assez peu caloriques.

Tableau comparatif :
Valeur nutritionnelle pour 100 g
Nutriments Marque Markal Marque Priméal
Lipides (g) 8 5,9
Glucides (g) 16 17,2
Fibres (g) nc 16
Énergie (kcal) 360 337

Où les trouver ?

En France, j’en ai acheté dans des magasins bio près de chez moi : Naturéo, So Bio et un autre local indépendant. Mais on en trouve aussi chez Biocoop, Naturalia, la Vie Claire,… Deux marques les fabriquent Priméal et Markal. Certains magasins indiens en vendent aussi et les magasins végans. Il y en a peut être d’autres mais je ne suis pas allée plus loin dans mes investigations. Les modes d’emploi sont  légèrement différents mais dans tous les cas, il faut les réhydrater. C’est un substitut de la viande qui est bon marché en comparaison de celle-ci. En effet les paquets de 175 g coûtent moins de 2€ et la portion par personne n’est que de 20 à 25 g. Alors, calculez la différence !

Sous la marque Marka, j’ai trouvé des protéines de soja gros morceaux, petits morceaux et façon méditerranéenne avec des aromates déshydratés (oignon, tomates, persil, betterave, ail ) ainsi que des épices et des herbes de Provence issus de l’agriculture biologique. Produit intéressant pour préparer des sauces bolognaises.

Chez Priméal, j’ai acheté des protéines de soja gros morceaux et des émincées. Les émincées sont très pratiques pour cuisiner des sauces, des hachis, des farces, du chili.

Comment les utiliser ?

Toutes les présentations sont vendues déshydratées. La première chose à faire c’est de les réhydrater. Pour cela, il faut lire les recommandations des fabricants car elles sont un peu différentes d’un fabricant à l’autre. Mais mises dans un liquide, elles gonflent. De plus, comme le tofu, il faut les cuisiner avec des aromates et/ou des épices ou les hydrater dans un liquide qui a du goût (bouillon, sauce soja, miso, sauce tomate, ….) sinon c’est fade.

Les petits morceaux sont à couvrir d’eau ou de bouillon bouillant puis on laisse gonfler au moins 15 minutes. Ensuite, il faut les égoutter et les faire revenir dans l’huile avec des garnitures.

Les gros morceaux peuvent être plongés environ 30 minutes dans de l’eau ou du bouillon bouillant. Ensuite, il faut les égoutter et les incorporer dans votre préparation.

Vous pouvez aussi ne pas les réhydrater et les ajouter directement dans une préparation liquide mais dans ce cas, Il faut tenir compte du volume de liquide nécessaire pour la réhydratation.

Elles se conservent longtemps dans un endroit sec et à l’abri de la lumière avant d’être réhydratées. Mais, Comme elles contiennent environ 35 % d’huile celle-ci peut rancir. Donc, il est conseillé de les garder environ 6 mois afin de ne pas avoir ce désagrément. Par contre, une fois réhydratées, le temps de conservation n’est que de 3 jours.

Voici des recettes :

Quésadillas aux protéines de soja texturées et champignons

Soupe de tomate aux vermicelles et protéines de soja

Boulettes végétaliennes aux saveurs asiatiques

Bien choisir le saumon fumé

Pour les fêtes de fin d’année mais pas seulement, le saumon est devenu un incontournable des repas. Au fil du temps, il s’est démocratisé. Il est devenu un des poissons les plus consommés. Facile à préparer et à servir, il est intéressant sur le plan nutritionnel. En effet, il est riche en omégas 3, en vitamines D et en protéines. Mais question choix c’est autre chose. En effet, on en trouve d’excellents comme de très médiocres. Alors comment faire le tri dans la multitude proposée ? J’espère que ce petit guide pourra vous y aider.

Quelle origine choisir ?

Le saumon dit d’Atlantique ne correspond pas à une zone géographique mais à l’espèce salmo salar.  En effet, il peut être pêché en mer Baltique ou à proximité des côtes chiliennes. Mais, en raison de la surpêche, il est presque toujours issu d’élevages. C’est le plus apprécié car sa chair est plus savoureuse et il se prête mieux au fumage.

Le saumon du Pacifique (Oncorhynchus) est moins apprécié car sa texture est assez ferme et sèche. Le saumon rouge (Oncorhynchus nerka) et l’argenté (Oncorhynchus kisutch) pêchés en Alaska sont moins gras et plus petits que le Salmo salar. De plus, leur chair présente parfois un goût prononcé à cause de leur alimentation riche en harengs qui ne plaît pas forcément à tous les consommateurs. Enfin, pour des raisons sanitaires, ils sont toujours congelés avant transformation, ce qui altère la qualité du produit. On notera que cette congélation n’a pas obligation d’être mentionnée sur l’emballage quand elle intervient avant le salage. Elle doit en revanche l’être si elle survient après cette opération de transformation.

Saumon d’élevage, sauvage, label rouge ou bio, lequel privilégier ?

D’abord, la qualité d’un saumon ne vient pas de son origine mais des conditions dans lesquelles il est élevé ainsi que des transformations effectuées après la pêche, salage, séchage et fumage.

La plupart des saumons vendus dans le commerce sont issus d’élevages. L’Irlande et l’Écosse se sont spécialisés dans l’élevage bio où la qualité de l’eau est contrôlée et les poissons ne sont pas traités aux antibiotiques.

On pourrait croire que les saumons sauvages sont le meilleur choix. Mais, une étude de « Que Choisir » a constaté qu’ils contenaient davantage de métaux lourds que ceux d’élevage. Les meilleurs sont les saumons d’Alaska car les eaux sont bien moins polluées. D’ailleurs, si vous utilisez l’application Yuka C’est celui qui est conseillé.

Le salage :

Le meilleur choix est celui qui est salé à la main au sel sec. Le salage permet de diminuer la quantité d’eau contenue dans les tissus ce qui permet un meilleur séchage. Si cette mention n’est pas indiquée, le saumon aura reçu des injections de saumure. Il sera moins bon et sa chair sera plus pâteuse.

Le fumage :

Le fumage assure la conservation. Choisissez celui qui est « fumé au bois de ….  » (hêtre, chêne ou autre).  Privilégiez les essences de hêtre ou de chêne qui sont les meilleures. S’il est indiqué uniquement « fumé » cela signifie que des substances ont été vaporisées et ces substances seraient cancérigènes d’après EFSA (autorité européenne de sécurité des aliments).

Le tranchage :

La qualité des tranches est un critère important d’évaluation d’un saumon fumé. La mention tranché à la main signifie que l’opération a été faite manuellement avec un couteau à lame fine, ce qui permet d’obtenir des tranches homogènes sur toute la longueur du saumon. Dans l’industrie, le tranchage est le plus souvent réalisé à la machine. Cette technique nécessite de raidir d’abord le saumon par un passage au froid autour de – 10 °C. Et, il s’agit là d’un début de congélation. Par contre, pour les produits Label rouge, un refroidissement en dessous de – 2 °C est interdit. Sur un saumon bien tranché , on ne doit pas voir des petits morceaux de chair grise, ni de larges bandes de graisse ou d’arêtes. Les tranches doivent être brillantes, larges et espacées avec de petits filets blancs et non de grandes lignes de graisse

La couleur :

La couleur dépend de la nourriture. Elle peut être claire ou foncée. Elle doit être uniforme et surtout pas orange. La couleur orange signifie qu’il a été nourri avec des farines animales et donc engraissé très vite. Son goût et sa texture seront alors moins fins. Il ne doit pas avoir un aspect décoloré ce qui signifie que c’est un vieux poisson.

La mention « jamais congelé » :

Vérifiez sur l’emballage que se trouve la mention « jamais congelé » ou « ne pas recongeler ». En effet, certains poissons peuvent subir une congélation. Par contre aucune mention n’est obligatoire si la congélation est faite avant le fumage. Ce qui est fort dommage car cette étape altère la qualité du saumon.

La date limite de conservation (DLC) :

Choisissez un saumon avec une date d’emballage qui est la plus proche possible de celle où vous allez le consommer. Ne le stockez pas trop longtemps au réfrigérateur car il s’oxyde vite et risque de devenir pâteux. Par contre, vous pouvez congeler un poisson « jamais congelé » mais il ne faudra pas le garder plus de 20 jours car il perdrait de ses valeurs nutritionnelles en particulier les Oméga 3.

Les signes de qualité :

Sur l’emballage, vous pouvez trouver aussi des labels de qualité.

Le « label rouge » est un label de qualité qui assure que le saumon a été élevé dans des conditions réglementées. L’alimentation doit être riche en produits d’origine marine. Ils doivent grossir pendant au moins 14 mois. Les saumons vivent dans de meilleures conditions car leur densité est limitée. De même les phases de transformation sont réglementées (refroidissement interdit en-deçà de -2°C, salage au sel sec, parage sévère, fumage dans les sept jours suivant la pêche)…
Ce label assure en effet que le saumon a été élevé et préparé avec soin. Malgré tout, comme il a été dit plus haut les contaminants, métaux lourds et polluants organiques, sont en plus grande quantité que pour les saumons d’élevage ordinaires.

Le logo AB agriculture biologique – garantit encore plus des conditions d’élevage respectueuses de l’animal, de l’environnement et du consommateur. Les sites de production sont soigneusement sélectionnés de façon à éviter les risques de pollution, à offrir un bon renouvellement des eaux et une bonne teneur en oxygène. Comme pour le Label rouge, la densité des poissons est limitée. Leur alimentation doit comporter au moins 30 % de soja bio et céréales en plus des aliments d’origine marine afin de préserver les ressources naturelles. Ils subissent le minimum de traitements. Le saumon bio contient moins d’acides gras trans (qui sont des mauvaises graisses) que le saumon conventionnel. Mais comme pour le Label Rouge, ils sont plus contaminés par les métaux lourds et les polluants organiques que de l’élevage conventionnel.

En conclusion :

J’espère que ces conseils vous permettront de trouver le meilleur choix possible. Mais, dans tous les cas, pour déguster un délicieux saumon fumé, il faut y mettre le prix. Et, ils doivent être consommés avec modération car ils sont très salés et contiennent des produits polluants mais quand même en dessous des taux autorisés.

Voici le dernier classement du meilleur au moins bon suite à des tests de « Que Choisir » décembre 2019. Les critères des tests sont : la quantité de sel, qualité du séchage, du fumage, du tranchage, les contaminants, la fraîcheur à la date limite de consommation, la microbiologie et la dégustation.

KRITSEN bio pure origine (Irlande)

AUCHAN saumon fumé (Ecosse)

DELPEYRAT saumon fumé ( Ecosse)

CAPITAINE COOK bio saumon fumé de l’atlantique (Irlande)

Il existe aussi une entreprise française « William et James » qui fume du saumon d’élevage français. Si vous souhaitez en savoir plus voici leur page facebookLa marque Carrefour distribue leurs produits.

Sources:

« Que choisir » magasine et site, Yuka, Madame figaro, magasine Avantages, 60 Millions de consommateurs, Papilles et pupilles

Les olives noires, lesquelles acheter ?

Dans une salade, sur une pizza ou pour un apéritif les olives noires ravissent nos papilles. Mais, après les révélations de « 60 millions de consommateurs  » et l’émission diffusée par France 5 en juin dernier comment savoir si celles que l’on achète sont bonnes pour notre santé.

Les olives vieillissent sur l’arbre. Leur couleur change selon leur degré de maturité. Les olives de table sont cueillies vertes en septembre octobre, les violettes et les noires le sont en novembre décembre. Mais elles ne sont pas mangeables aussitôt cueillies car elles sont trop amères. Pour supprimer cet amertume, elles doivent subir plusieurs traitements : trempage, fermentation, saumure ou salage qui sont longs et coûteux.

En France la demande en olives noires est importante et dépasse largement la production locale. La majorité des olives de table consommées proviennent du Maroc, de l’Espagne, de la Belgique et de la Grèce. Aussi pour gagner du temps, mais surtout de l’argent, certains producteurs ont trouvé des techniques plutôt curieuses pour raccourcir le temps nécessaire aux traitements et baisser les coûts de fabrication.

La transformation des olives vertes en noires :

Les olives sont cueillies vertes car elles sont plus faciles à dénoyauter. Alors comment arrivent-elles à devenir noires?

Les olives vertes sont d’abord plongées dans un bain de soude ou de potasse peu concentré afin de leur faire perdre leur amertume. Ensuite, pour les attendrir, on les trempe dans un bain de saumure (eau + sel). Enfin, elles passent dans une solution de gluconate ferreux (E579) qui va changer progressivement leur couleur par oxydation. De plus, pour améliorer l’efficacité du processus, les olives sont souvent dénoyautées avant. Ainsi, avec ces procédés, il suffit de quelques jours alors que la nature met plusieurs mois.

Ces olives n’ont plus rien à voir avec celles mûries doucement sur l’arbre grâce à l’action du soleil. Leur texture est caoutchouteuse. Elles ont un goût de plastique et une odeur peu agréable. Et côté santé, ces traitements détruisent la majorité des composants bénéfiques pour notre santé comme les polyphénols, ou les minéraux. Cela n’a rien à voir avec les délicieux petits fruits gorgés de soleil.

Alors, comment les reconnaître ?

Il faut lire les étiquettes.

Si vous voyez indiqué la mention « olives confites » ou gluconate ferreux (E579) dans la liste des ingrédients, passez votre chemin. Autre façon de les identifier, elles sont d’un noir d’ébène uniforme et bien lisses.

De même, certaines olives cueillies à maturité sont traitées au gluconate ferreux (E579) pour stabiliser leur couleur. Un agent conservateur, le sorbate de potassium (E202), peut également être ajouté dans les boîtes ou les sachets vendus. Soyez vigilants et lisez bien les étiquettes si vous souhaitez acheter des olives noires sans produits chimiques.

Mais, ne désespérez pas, il existe de vraies olives noires. Si vous lisez « olives noires au naturel », « olives noires au sel sec » ou « olives noires à la Grecque » les fruits ont été cueillis à maturité. Autres critères : les olives noires cueillies à maturation sont un peu ridées. Elles ont un noyau et n’ont pas toutes la même teinte dans le même sachet.

Les olives noires dont on est sûre de la qualité ont une AOP (appellation d’origine protégée). C’est le cas des olive françaises de Nyons, de Nice, de la vallée des Baux de Provence. Il en est de même pour les olives bénéficiant du label bio car les additifs sont interdits. Pour celles qui sont cultivées ailleurs, on trouve en Espagne l’olive de Majorque, en Italie l’olive noire de Gaeta ou encore en Grèce, la fameuse olive noire Kalamata.

Sources :

Que choisir, 60 millions de consommateurs, Le Figaro cuisine, allo docteur

Partenariat avec des marques de matériel

Barbecues à gaz, à charbon, électriques, portables, planchas; Raviday barbecue

 

Le bouillon Knorr aux herbes et à l’huile d’olives

Foodwatch a lancé une offensive contre le bouillon Knorr aux herbes et à l’huile d’olives Puget. Vous allez savoir pourquoi.

D’abord connaissez-vous Foodwatch?

C’est une organisation non gouvernementale de défense des consommateurs. Fondée en 2002 en Allemagne par l’ancien directeur international de Greenpeace Thilo Bode, l’organisation existe depuis 2010 aux Pays-Bas et depuis 2013 en France. Cette organisation est à but non lucratif. Elle se bat pour une alimentation sans risques, saine et abordable pour tous. Elle fait entendre la voix des consommateurs et milite pour qu’il y ait plus de transparence dans le secteur alimentaire. Elle défend le droit à une alimentation qui ne porte atteinte ni aux personnes, ni à l’environnement. Elle lance des alertes et des pétitions pour des produits de l’agroalimentaire qui induisent le consommateur en erreur. Comme celle dont je vais vous parler.

Le bouillon Knorr aux herbes et à l’huile d’olive « Puget « :

Voici les mauvaises informations découvertes par eux:( article diffusé sur leur site)

Avec ses références visuelles à la cuisine méditerranéenne et à l’huile d’olive, ce « bouillon aux herbes et à l’huile d’olive » semble alléchant aux premiers abords. Pourtant, Knorr nous gratifie d’une large palette d’arnaques sur l’étiquette sur ce produit. Nous en avons repéré pas moins de cinq. 

  1. La présence d’huile d’olive à hauteur de seulement 2% alors que l’huile d’olive Puget est largement mise en avant par le marketing.
  2. La présence majoritaire d’huile de palme – bien plus que d’huile d’olive -.
  3. Les représentations à l’avant du paquet d’olives noires et de basilic qui ne figurent pourtant pas dans la liste des ingrédients du bouillon.
  4. La présence d’un additif controversé, le glutamate, alors que Knorr essaie de montrer patte blanche côté additifs avec la mention « sans conservateur ».
  5. La présence de sucre ajouté dans un bouillon salé.

Alors, si vous achetez du bouillon pour vos préparations culinaires, veillez à bien lire les étiquettes. Evitez ceux qui contiennent de l’huile de palme, du sucre et autres produits que l’on ne trouve pas dans ses placards. Si vous souhaitez soutenir Foofwatch, vous pouvez signer la ou les pétitions en suivant ce lien.

Plus de 20 recettes avec les courges d’hiver

Dès la fin de l’été, les courges d’hiver commencent à apparaître dans les jardins et sur les étals pour notre plus grand plaisir. Nous avons l’embarras du choix car il en existe de nombreuses variétés. Mais, certaines sont plus populaires ou plus faciles à trouver que d’autres. Les courges sont peu caloriques et riches en nutriments bons pour notre santé. Aussi, pensez à les intégrer régulièrement à vos menus. Si vous souhaitez plus de renseignements à leur sujet, lisez cet article.

Voici quelques idées de recettes pour les déguster :

Les soupes :

Velouté de châtaignes et de potimarron aux noisettes

Velouté de potimarron au gingembre

Velouté de potiron et de chou kale

Velouté de potiron à la tomate

 

Les plats :

Courge spaghetti au chorizo

Courge spaghetti au thon et à la tomate

Parmentier d’automne

Tajine de poulet à la courge butternut

Dinde aux légumes oubliés

 

Les plats végétariens :

Soupe de courge Butternut aux lentilles

Gratin de potiron savoyard

Poêlée de potiron lentilles et épinards

Curry de courge Butternut et autres légumes

Spaghettis bolognaise végan

Courge bleue de Hongrie farcie

Gratin de courge spaghetti à la tomate

Les plats de légumes :

 

Poêlée d’automne

Purée de potiron et patate douce

Blésotto au potiron

Les desserts :

Compote de potiron à l’orange

Compote potiron et pomme à la vanille

Brownies au potiron et aux noix

Financiers au potiron et aux noix

Muffins courge butternut et noix

Flan de citrouille

Confiture :

Marmelade de potiron à l’orange

 

La margarine Proactiv Expert

La margarine Proactiv Expert

Il nous a été proposé de parler de la nouvelle margarine Proactiv Expert. Cette margarine garantie être sans huile de palme, sans conservateurs et enrichie en stérols végétaux ce qui permet de réduire le cholestérol. C’est la seule margarine qui contient des stérols végétaux.

En toute honnêteté, je dois dire que ma famille et moi-même n’utilisons pas ce genre de produit n’ayant pas de problème de cholestérol.

Je tiens à préciser que cet article est rédigé à quatre mains avec Elodie, la nutritionniste du site qui intervient pour tous les articles de nutrition et de santé et moi-même, la cuisinière.

  • Côté santé :

Cette margarine existe en 3 versions : la margarine Proactiv expert tartine en remplacement du beurre, la margarine Proactiv tartine ½ sel et la margarine Proactiv expert Cuisson.

Ce qui est mentionné en gros sur l’emballage c’est qu’elle « réduit le cholestérol » car elle contient des stérols végétaux. En effet, les phytostérols ou stérols végétaux sont des matières grasses végétales de la même famille que le cholestérol. Mais, contrairement au cholestérol que l’on ne trouve que dans les aliments d’origine animale, les phytostérols se trouvent dans les aliments d’origine végétale.

Plusieurs études et organismes réputés en santé du cœur préconisent de consommer 1,5 à 2,4 g par jour de stérols. Cette quantité permettrait de réduire d’environ 10 % le mauvais cholestérol du sang et de diminuer jusqu’à 20 % le risque de maladies cardiaques. Un tel apport peut être fait par une alimentation riche en fruits, en légumes, en légumineuses, en graines (lin, sésame, tournesol) et huiles qui en contiennent (sésame, germe de blé, carthame). Cependant, pour atteindre la quantité préconisée (2 g / jour de stérols végétaux), il faudrait manger de grosses quantités de ces aliments (425 tomates ou 70 tranches de pain complet) car les stérols y sont présents en faible quantité.

D’où l’utilité d’aliments enrichis, la margarine Proactiv expert peut venir  complémenter une alimentation équilibrée et permettre d’ajouter des stérols végétaux dans votre régime quotidien. Un apport de 30 g de cette margarine par jour peut permettre d’atteindre la quantité de stérols préconisée.

Le régime méditerranéen est aussi un bon moyen de diminuer le cholestérol. Pour plus de renseignements sur ce régime suivez ce lien : https://www.macuisinesante.com/la-cuisine-italienne/.

Bon à savoir :

  • Cette margarine est sans huile de palme (meilleure pour votre santé et pour l’environnement)
  • Elle est sans conservateur
  • Elle est 100 % végétale et donc bonne pour les personnes qui ont adopté le régime végétalien
  • Elle permet en complément d’une alimentation équilibrée de réduire le mauvais cholestérol sanguin comme nous venons de l’expliquer
  • Elle ne devrait pas être consommée par les femmes enceintes, les femmes allaitantes et les enfants de moins de 5 ans car les stérols végétaux pris en grande quantité peuvent entraver la croissance.
  • Ce n’est pas une margarine familiale mais une margarine sorte d’ « alicament » réservée aux personnes qui ont du cholestérol et souhaitent le diminuer.

Côté cuisine :

  • La margarine à tartiner :

Un gros avantage de cette margarine à tartiner c’est qu’elle s’étale très facilement même en sortant du réfrigérateur. Ce qui n’est pas le cas du beurre qui doit être à température ambiante pour pouvoir être tartiné facilement.

Niveau goût, comme je n’aime pas le beurre sur les tartines, je n’ai pas apprécié non plus avec la margarine. Son goût est neutre. Par contre, je la trouve un peu trop salée à mon goût car je sale très peu mes plats. Elle contient 0,5 g de sodium. De ce fait, en consommant 3 portions de margarine Proactiv, vous ingérez 0,15 g de sel soit 3 % de la consommation journalière recommandée par l’OMS qui est de 5 g de sel/jour .

  • La margarine Proactiv Expert cuisson :

J’ai utilisé cette margarine cuisson pour faire différentes cuissons et il n’y a pas de soucis.

Cette margarine spéciale cuisson est tout à fait adaptée à tous les types de cuisson. Elle se différencie de la margarine tartine par son taux de matières grasses plus élevé qui permet les cuissons à haute température.

Recette réalisée avec cette margarine :

Muffins aux myrtilles sans oeuf, ni lactose

Temps de préparation : 10 minutes

Temps de cuisson 20 à 25 minutes

Pour 8 gros muffins

Ingrédients

125 g de myrtilles fraîches ou surgelées| 125 ml de boisson d’amandes ou autre boisson végétale | 120 g de farine d’épeautre ou de blé semi complète ou T 80 | 45 g ou 3 cuillères à soupe rases de sucre de canne non raffiné | 40 g de margarine Proactiv Expert cuisson | 2 cuil. à soupe de flocons d’avoine | 1 cuil. à soupe de purée d’amandes | 1 cuil. à café ou 6 g de levure chimique | 1 cuil. à café de jus de citron|1 pincée de sel

Préparation

  • Faites chauffer le four à 180 °C.
  • Préparez des moules à muffins en silicone ou des caissettes en papier et un moule pour muffins en métal sur une plaque à four.
  • Faites fondre la margarine dans un récipient microndable au four à micro ondes pendant 30 secondes.
  • Dans un saladier, pesez la farine, tarez la balance puis pesez le sucre. Ajoutez les flocons d’avoine, le sel et la levure, mélangez.
  • Dans un autre petit saladier, versez la boisson végétale et la cuillère de purée d’amandes, fouettez. Ajoutez le jus de citron et la margarine fondue, mélangez.
  • Dans le saladier avec les ingrédients secs ajoutez les myrtilles et les ingrédients liquides. Si vous utilisez des myrtilles surgelées, mélangez les ingrédients secs et liquides rapidement il doit rester des ingrédients non incorporés puis ajoutez les myrtilles, mélangez un peu. Le mélange  à muffins doit être fait grossièrement. Il est normal qu’il reste des grumeaux.
  • Remplissez les moules au ¾ et faites cuire 15 à 20 minutes. Vérifiez la cuisson avec un pique en bois ou la pointe d’un couteau.
  • Démoulez quand ils sont tièdes ou laissez dans les caissettes en papier.
  • Dégustez tiède c’est meilleur.

    Valeur nutritive pour un muffin (80 g)

    • 180 kcal
    • 5,8 g de lipides
    • 4,3 g de protéines
    • 26,2 g de glucides dont 2,1 g de fibres
    • 0,1 g de sodium

Plats vite prêts pour les soirs de semaine

La rentrée est souvent synonyme de semaines chargées. Mais, lorsque l’on travaille, même après la rentrée le temps est compté et celui alloué aux préparations culinaires est limité. Alors, si l’on veut éviter au maximum d’acheter des plats prêts à manger pour maîtriser son alimentation, celle de sa famille et ainsi manger plus sainement, eh bien, il n’y a pas trente six solutions : il faut préparer ses repas. Seulement, cela demande du temps et de l’organisation. Les aides culinaires sont un atout pour gagner du temps. Pensez aux légumes surgelés ou aux conserves. Vous êtes sceptiques sur leur valeur nutritionnelles ? Lisez ces articles « intérêts des fruits et légumes surgelés », « cuisinez avec des conserves ». Et profitez du week-end pour préparer à l’avance ou congeler des plats que vous avez préparés en plus grosse quantité. Voici des exemples de plats à congeler. Préparer une salade rapidement c’est aussi avoir toujours de la vinaigrette maison sous la main, voici la recette. Nous avons déjà abordé ce sujet dans cet article. Vous y trouverez peut-être des idées pour gagner du temps et mieux vous organiser.

Aujourd’hui, je vous propose une sélection de plats rapides à préparer pour les repas du soir. Ils sont en général préparés et cuits en 20 à 25 minutes selon votre rapidité et les aides dont vous pouvez disposez.

Les soupes repas :

 


Soupe de moules aux petits légumes

Soupe aux épinards et tortellini à la ricotta

Velouté de mâches aux oeufs et croûtons

Velouté de potiron et chou kale

Soupe provençale aux haricots blancs

Soupe à l’oseille
Soupe poulette
Soupe de tomate mexicaine

Soupe de patate douce au quinoa rouge et chips de Serrano

Soupe asiatique aux algues

Velouté aux courgettes franc-comtois

Soupe express aux lentilles et carottes

Soupe épaisse aux lentilles corail et aux poivrons

 

Salades repas :

 


Salade de riz

Salade aux cœurs de palmiers et surimi

Salade de haricots verts à la grecque

Salade de pâtes sauce crémeuse au jambon

Salade vide frigo

Salade de pommes de terre sauce crémeuse
Salade de mangue et saumon fumé
Salade grenobloise

Salade asiatique au kale et aux crevettes

Salade de thon du placard

Salade de pommes de terre et maquereaux fumés

Salade de torsades au surimi

 

Croques et compagnie :

 


Bagel à la truite ou au saumon fumé

Bagels à l’italienne

Grilled cheese sandwich

Wrap au thon

Wrap norvégien

Burger de poulet à la méditerrannéenne

Hamburger de veau

Tartines au fromage de chèvre et aux figues

Tartines au foie de morue

Tartine aux asperges vertes et au-fromage de chèvre

Tartines méridionales

Croque camembert

Quesadillas aux épinards et au chèvre

Fajitas gratinées aux restes de poulet

Baguette perdue façon pizza

Panini méridional

Tartines chèvre tomate

Panini poulet ananas

Brick ratatouille et thon

Panini à l’italienne

Croustillants au chèvre

 

Plats de viande :

 


Poulet à l’ananas et au lait de coco

Côtes de porc forestières

Poulet cajun à la plancha ou pas

Curry de poulet et poivrons

Restes de poulet forestière

Foie de veau sauce moutarde

Boulettes de boeuf au chou kale

Escalopes de dinde napolitaine

Saucisses de veau aux pommes

Veau au curry

Poulet vallée d’Auge

 

Plats de poisson :

 


Crevettes au curry et lait de coco

Dos de cabillaud en croûte provençale

Crevettes aux légumes asiatiques

Brochettes de gambas cajun

Cabillaud sauce yakitori et asperges vertes

Crevettes aux épices

Moules à l’espagnole

Papillotes de saumon aux herbes

Filets de sole aux champignons

Crevettes au curry

Moules à l’indienne

Morue estivale

 

Plats avec des œufs :

 


Omelette à la grecque

Omelette méditerranéenne

Oeufs à la ratatouille

Oeufs brouillés au saumon fumé

Omelette au kale et aux tomates

Omelette mortelle

Omelette marine

Omelette espagnole

Omelette chèvre épinards

Omelette bretonne

 

Plats avec des féculents :

 


Blésotto de crevettes et petits pois au curry

Penne sauce crémeuse aux courgettes et aux noix

Pâtes aux moules et aux artichauts

Tortellini aux épinards et au saumon

Pâtes au thon et à la tomate

Linguine aux fruits de mer et pesto de cresson

Risoni ou orzo aux crevettes

Gratin de polenta aux champignons et aux saucisses

Pâtes au poulet sauce cacahuète

Blésotto breton

Penne aux calamars

Tagliatelles au saumon fumé et aux asperges vertes

Penne aux tomates séchées et à la feta

 

Repas végétariens :

 


Soupe au tofu et aux champignons

Soupe aux épinards et tortellini à la ricotta

Ramen végétarien

Soupe provençale aux haricots blancs

Soupe à l’oseille

Soupe de tomate mexicaine

Soupe asiatique aux algues

Soupe express aux lentilles et carottes

Soupe épaisse de lentilles corail au poivron

Wraps au houmous, au tofu et légumes

Croustillant au chèvre

Tartine chèvre tomate

Tartine méridionale

Tartine au chèvre et aux figues

Tartine aux asperges vertes et au chèvre

Croque camembert

Grilled cheese sandwich

Quesadillas aux épinards et au chèvre

Baguette perdue façon pizza

Tofu fumé et champignons sauce moutarde

Curry de tempeh aux champignons et gombos

Salade de quinoa aux pêches et légumes

Salade de pousses d’épinards et de tempeh mariné

Rougail au tofu

Curry de tofu aux poivron

Sauté de champignons au quinoa

Poêlée de tofu, patates douces et légumes aux épices

Nouilles Udon aux légumes

Enchiladas végé gratinées

Gratin de potiron savoyard

Panadillas végétariennes

Quinoa aux légumes du sud

Gratin de polenta végétarien

Gratin d’aubergines

Salade alsacienne végétarienne

Poêlée de potiron, lentilles et épinards

Haricots blancs à la provençale

 

Les plats végétaliens :

 


Wraps au houmous, tofu et légumes

Tofu fumé et champignons sauce moutarde

Curry de tempeh aux champignons et gombos

Poêlée de potiron, lentilles et épinards

Salade de pousses d’épinards et de tempeh mariné

Rougail au tofu

Curry de tofu aux poivrons

Sauté de champignons au quinoa

Poêlée de tofu, patates douces et légumes aux épices

Haricots blancs à la provençale

Salade alsacienne

Soupe asaitique aux algues

Soupe provençale aux haricots blanc

Soupe miso

Ramen végétarien

 

Recettes avec des aubergines

L’aubergine, légumes incontournable de l’été, permet de réaliser de nombreuses recettes. On peut même l’intégrer en purée dans une pâtisserie pour remplacer la matière grasse ou l’œuf. Elle est très répandue dans la cuisine méditerranéenne et indienne. Vous voulez mieux la connaitre, alors suivez ce lien. Je la cuisine beaucoup car c’est un de mes légumes préféré. Voici les recettes qui ont été déjà postées.

Plat principal :

Pizza fine aubergines grillées et thon

Escalopes de dinde napolitaine

Brick à la ratatouille et au thon

Plats végétariens :

Gratin d’aubergines grillées

Aubergines farcies végétariennes

Gratin d’aubergines

Panini à l’italienne

Haricots blancs à la provençale

Oeufs à la ratatouille

Tarte aux légumes d’été

Poêlée de légumes d’été aux pois chiches

Plats végétaliens :

Haricots blancs à la provençale

Poêlée de légumes d’été aux pois chiches

Accompagnements :

Compotée d’aubergines

Tian de légumes d’été

Aubergines à l’indienne

Mille feuille d’aubergine

Poêlée de légumes d’été aux épices

Ratatouille facile

Dans un dessert :

Mini chocaub

Les melons d’été

Le melon fait partie de la famille des cucurbitacées tout comme les courgettes, les concombres, les courges ou les pastèques. Comme pour les courges, il existe des melons d’été et ceux d’hiver qui sont en général de forme allongée. La saison des melons d’été est assez courte de juin à septembre. Alors, il ne faut pas hésiter à le consommer car sa chair est savoureuse. En France, on le récolte de juin à septembre. A ne pas confondre avec la pastèque appelée aussi melon d’eau qui est une autre variété de la famille des cucurbitacées.

Les variétés :

Quelle que soit sa couleur, il existe de nombreuses variétés. On trouve le charentais, le cantaloup, le jaune, le melon miel, la pastèque et bien d’autres encore. Leur chair aux couleurs variées est plus ou moins juteuse, ferme et sucrée selon la variété. De nombreuses variétés ne sont pas cultivées en France et poussent à d’autres périodes de l’année.

Les variétés les plus connues en France :

  • Le cantaloup charentais a une écorce vert pâle et lisse avec des tranches marquées et une chair orangée et sucrée.
  • Le melon charentais brodé a une écorce épaisse couverte de dessins liégeux. Sa chair est rose saumon ou jaune orangée. Sa chair est sucrée, un peu plus ferme et un peu moins parfumée . Il porte le nom du lieu ou il est cultivé : Charente, Touraine, Cavaillon.
  • Le melon Galia est rond. Il a une écorce jaune épaisse et torturée. Sa chair verte est très sucrée et parfumée.
  • En France, trois productions bénéficient d’une IGP (indication géographique protégée), les melons du Haut-Poitou, les melons du Quercy et les melons de Guadeloupe.

Bien le choisir :

Acheter un melon savoureux n’est guère facile car ils sont presque toujours cueillis à maturité mais sans être vraiment mûrs pour supporter le transport et le stockage. Pour le choisir, il doit être toujours lourd et la peau sans moisissure, sans meurtrissure ou tache. Il ne doit pas être mou ni sentir trop fort car c’est signe qu’il est trop mûr et qu’il fermente. Un autre moyen pour savoir s’il est mûr c’est de le taper doucement avec la paume de la main, il doit émettre un son creux. Il y a aussi un autre indice. Regardez la tige qui a été coupée. Si elle est dure ou qu’une partie est verte, alors le melon n’est pas encore à point. La petite tige doit être souple et même se détacher un peu. Autre indice, la partie opposée à la tige doit dégager un doux parfum.

La conservation :

Il se conserve quelques jours à température ambiante jusqu’à ce qu’il dégage un agréable parfum. Mais, ne le mettez pas avec d’autres fruits. En effet, il produit du gaz éthylène qui accélère le mûrissement des aliments avec lesquels il est en contact. Sinon, emballez-le dans un sachet papier afin qu’il n’altère pas les autres aliments.

S’il est mûr, il est préférable de le conserver dans le bac du réfrigérateur mais pas plus d’une semaine. Et entourez-le d’un sachet en papier afin qu’il n’altère pas le goût des autres aliments. Il se garde moins longtemps s’il est coupé. Protégez-le dans ce cas d’un film cellophane pour le préserver du dessèchement.

Vous pouvez le congeler en cubes, en lamelles ou en boules et enrobé au préalable de jus de citron. Mais il devient mou après décongélation.

Côté cuisine :

Le melon se consomme en entrée, en salade salée ou sucrée, en dessert, en glace, en confiture, en soupe froide ou en boisson. Il s’accommode particulièrement bien avec le porto, le gingembre, le citron et le xérès. Il se marie délicieusement avec le jambon surtout fumé ou de pays, ainsi que le poisson fumé. Essayez-le dans une salade avec de la volaille ou une viande séchée comme le magret de canard fumé. Il se déguste froid mais pas glacé sauf en sorbet. En effet, quand il est trop froid, il perd de sa saveur.

Côté santé :

Il est très riche en eau et peu calorique. Il permet de se désaltérer lors des chaleurs estivales. Les melons de couleur orangée sont riches en bêtacarotène, une vitamine antioxydante qui intervient dans la prévention des cancers et maladies cardiovasculaires. Il est riche en vitamine C et en potassium. Sa richesse en eau et en potassium font qu’il est diurétique. Mais certaines personnes ont du mal à le digérer. Et, n’en abusez pas trop car ses fibres accélèrent le transit intestinal.

Quelques recettes :

Soupe froide au melon

Fleur de melon

Salade de mâche fruitée

Salade fraîcheur aux myrtilles

Boisson fraîche au melon

Sources:

Connaissances personnelles et professionnelles

Livres: Encyclopédie des aliments, Guide de la santé dans votre assiette, Cuisiner vite et bon du médecin nutritionniste Jacques Fricker.

Pour en savoir plus sur le melon de cavaillon : www.destinationluberon.com

Par quoi remplacer les œufs

Nous avons posté il y a peu de temps un article sur « comment confectionner des pâtisseries moins riches en gras et en sucre ». Aujourd’hui, nous abordons le problème des œufs car de nombreuses personnes y sont intolérantes ou choisissent de devenir végétaliens. Bien sûr, de nombreux sites abordent cette question. Aussi, nous en avons fait une synthèse que vous trouverez sous forme de tableau à imprimer. Ainsi, vous l’aurez facilement sous la main.

Mais d’abord à quoi servent les œufs !

Les œufs apportent de l’humidité, du liant ou ont une fonction de levant.

 

Cliquer sur le tableau pour afficher la version imprimable.

 

Il existe aussi dans le commerce des substituts d’œufs. Mais, vous pouvez aussi le préparer vous même. Voici la recette d’Antigone.

  • 100 g. de fécule de pomme de terre
  • 100 g. de fécule de tapioca
  • 25 g. de gomme de guar
  • 10 g. de bicarbonate de soude (ou de poudre à lever)
  • (opt.) 20 g. de lécithine de soja ou tournesol

Voici quelques recettes où les œufs ont été remplacés par d’autres aliments :

Cookies au chocolat sans œuf

Pancakes à la banane et au sarrasin

Cookies aux noisettes et aux canneberges

Muffins au potiron et aux pépites de chocolat

Carrés aux céréales et au chocolat

Carrés aux fraises

Granola extra croquant 

Crèmes au chocolat et aux poires

Maxi crêpe poires et noisettes

Boules santé aux canneberges

Cheesecake mangue et chocolat végan

Petits pains banane aux noix

Crèmes express au chocolat

Vous pouvez aussi trouver des renseignements complémentaires sur les sites végétariens mais surtout végétaliens.

Voici les plus intéressants

vegan pratique , Cuisine saine , AntigoneXXI , papilles et pupilles

Élodie (nutritionniste du site) et Évelyne

Recettes au quinoa

Etant sans gluten et riche en nutriments, cette petite graine est de plus en plus appréciée par tous ceux qui privilégient une saine alimentation. Pour mieux la connaitre lisez cet article.

Mais, attention à ne pas acheter n’importe lequel. En effet, le quinoa de Bolivie a un franc succès et est devenu très cher. Alors, le Pérou s’est mis à le cultiver de façon intensive pour bénéficier de cette manne providentielle. Mais, il est génétiquement modifié et ne contient pratiquement plus de saponine qui protégeait la graine des agressions extérieures. Et surtout, la culture est devenue intensive et a recours à des pesticides interdits dans l’Union Européenne. Alors, privilégiez le bio. Mieux encore, le quinoa est cultivé en France, en Anjou, dans le Poitou, en Essonne  (exploitation proche de chez moi) mais aussi en Seine et Marne. Alors privilégiez les producteurs français. Ainsi l’empreinte carbone sera largement moins importante que le quinoa importé qui a parcouru des milliers de kilomètres pour arriver chez nous.

Il peut être cuisiné aussi bien en sucré qu’en salé et peut être décliné de nombreuses façons. Avant de le cuisiner, il faut le rincer soigneusement jusqu’à ce que l’eau ne mousse plus. Cela permet d’éliminer la saponine qui entoure le grain et lui donnerait un goût amer.

Voici quelques recettes pour le cuisiner.

Recettes en version salée :

Les soupes:

Soupe de carotte et quinoa aux noisettes

Soupe de patate douce et quinoa et chips de Serrano

Les salades :

Salade de quinoa pêches et légumes

Salade de quinoa et kale aux fraises

Salade de quinoa sauce moutarde

Salade sud américaine au quinoa

Salade au quinoa rouge

Salade de quinoa et tofu fermenté aux légumes de printemps

Les plats d’accompagnement ou plats végétariens:

Gratin de quinoa aux courgettes

Sauté de champignons au quinoa

Quinoa aux légumes du sud

Recettes en version sucrée :

Cookies moelleux aux pépites de chocolat

Cookies moelleux au quinoa et aux canneberges

Comment confectionner des pâtisseries moins riches en gras et en sucre ?

La plupart des recettes de pâtisseries que l’on trouve dans les livres de cuisine ou sur le net sont hyper riches en sucre et en gras. Pourtant, elles sont souvent plus intéressantes pour la santé que celles du commerce. En effet, à la vue des étiquettes, les produits commerciaux sont riches en sucre ainsi qu’en additifs et conservateurs. Cet article fait suite à celui qui a été publié  le mois dernier: « Faire ses biscuits maison c’est mieux pour la santé »

Les recherches en nutrition, démontrent de plus en plus l’importance de l’alimentation sur la santé. Mais ce n’est pas nouveau, car Hippocrate disait bien dans l’Antiquité que les aliments étaient notre médecine.  Les sucres ajoutés plus que les gras sont mis en accusation. En effet, ils ont un rôle dans l’apparition de certaines maladies comme le diabète, les maladies cardiovasculaires et j’en passe….

Réduire les pâtisseries en gras et en sucre n’est pas chose facile car notre palais est habitué aux produits très sucrés. Il en va de même en ce qui concerne l’onctuosité apportée par les graisses. Mais, ces aliments peuvent être remplacés par d’autres plus intéressants pour la santé. Le plus difficile pour certaines personnes, c’est la diminution du sucre dans l’alimentation. Je l’ai déjà constaté à plusieurs reprises car je demande souvent aux personnes de mon entourage de déguster certaines préparations que je cuisine pour les tester. Et souvent, les avis sont négatifs par rapport au goût sucré. C’est normal car j’ai beaucoup réduit les quantités dans les recettes. Mais mes testeurs sont de moins en moins des becs sucrés.

Depuis de nombreuses années, les quantités de sucre dans les aliments commerciaux ont explosées. On en trouve même bien cachés dans les produits salés.

A titre indicatif, voici quelques exemples :

 

 

Et, n’hésitez pas à lire cet article, vous serez parfois surpris : Article de passeport santé

Une chose est certaine. Le fait maison permet de maîtriser ce que vous mettez dans vos préparations,  voici quelques conseils.

Réduire le gras dans les pâtisseries

Le gras apporte de l’onctuosité, du moelleux aux pâtisseries. Mais, il existe quelques astuces pour les réduire sans pour autant altérer leur saveur.

Réduire le sucre dans les pâtisseries

Savez -vous que les Français consomment en moyenne 100 grammes de sucre par jour en France, soit quatre fois plus que les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les consommations excessives de sucre prédisposent au diabète, à certains cancers, aux maladies cardio-vasculaires et même à des maladies de foie comme  la stéatose hépatique ou maladie du foie gras de l’homme. Il faut savoir aussi que le sucre consommé en excès est transformé et stocké sous forme de graisse dans l’organisme.

Aussi, les nutritionnistes recommandent de diminuer de façon importante notre consommation en sucres ajoutés. Un des moyens est de ne plus acheter ou réduire au maximum les aliments vendus par l’industrie agroalimentaire. Mais le mieux quand c’est possible c’est de cuisiner davantage. Ainsi, vous pouvez maîtriser les ingrédients et les quantités. Mais diminuer ne veut pas dire supprimer. En effet, le sucre est le carburant principal de notre corps. Il est important pour nos muscles et notre cerveau.

Voici quelques moyens de diminuer les quantités de sucre dans les pâtisseries et les desserts.

Choses à savoir :

    1. Tous les sucres n’ont pas le même pouvoir sucrant :

100 g de sucre blanc

= 50 g de miel ou de sirop d’érable

= 70 g de sucre de canne non raffiné ou de muscovado, ou de rapadura ou de sucre de coco

= 30 g de sirop d’agave

= 60 g de fructose

Ne sont pas pris en compte les édulcorants ainsi que la stévia qui ont un pouvoir sucrant important mais qui ont subits d’importantes transformations chimiques et dont la composition comporte des additifs.

  1. Important pour les diabétiques : l’indice glycémique des sucres est en général assez élevé soit entre 55 et 68. Par contre, le sirop d’agave, le sucre de coco et le fructose ont respectivement un indice glycémique de 30, 24 et 20.
  2. Dans toutes les recettes, il est possible de diminuer les quantités de sucre de 1/4 voir jusqu’à la moitié sans altérer le goût. Vous pouvez aussi diminuer la quantité de sucre en mettant des épices (cannelle, muscade, anis, poivre de Sichuan, poivre long,…) ou des arômes naturels (vanille, fleur d’oranger, zestes ou extrait d’agrumes, feuilles de menthe,…)

Sources :

Ecrit par Elodie (nutritionniste) et Evelyne

Connaissances professionnelles, connaissances personnelles, Extenso.org, cuisine.AZ, passeport santé, nospetitsmangeurs.com

Faire ses biscuits maison c’est bien mieux pour la santé

Ce n’est pas toujours évident de fabriquer ses biscuits soi-même. Cela demande du temps et on n’en a pas toujours. Pourtant, au fil des recherches et des analyses qui sont régulièrement publiées, nous apprenons de plus en plus ce que contiennent les aliments vendus par l’industrie agro-alimentaire. Et ces découvertes sont de plus en plus atterrantes.

Par exemple, dans le numéro 576 de janvier 2019, « Que Choisir » nous apprend que les « Petits Beurre Lu » ne sont plus fabriqués avec de bons produits naturels comme à l’origine. Mais, ils contiennent pas mal d’additifs. Eh oui, la société française a été rachetée comme beaucoup d’autres dans les années 1980 par un des mastodontes de l’agroalimentaire la société américaine Mondelez.

Et il en va de même pour bon nombre d’autres biscuits qui à l’origine étaient composés avec de bons aliments. Et lorsque l’on fait ses courses, le constat est terrifiant. Pour pratiquement aucun des biscuits analysés, seuls « les petits sablés » de Michel et Augustin » sont faits avec des produits naturels. Mais pour combien de temps?  Ils viennent d’être avalés par le groupe Danone. Alors de quoi seront composés leurs bons biscuits dans quelques temps ?

Si vous avez installé l’application YUKA ou autre application du même genre. C’est tout aussi affolant. Vous n’en trouverez pratiquement aucun qui dépasse la note de 0/100. La plupart contiennent des additifs sans parler de l’huile de palme et autre produit sucrant. Il en va de même pour les biscuits soi disant santé et pour certains estampillés bio.

Si vous voulez acheter de bons biscuits pour vos enfants, il vous faudra passer un bon moment dans les rayons pour trouver The Biscuits santé fait sans additifs et avec de bons produits. Mais, un autre moyen 100% sûr c’est de les fabriquer. Là, pas de soucis à se faire puisque ce sont vos aliments. Rien ne vaut le fait maison. Profitez en pour que toute la famille participe. Les enfants adoreront vous aider et bientôt, ils les feront eux-même. Un bon moyen pour apprendre dès le plus jeune âge la cuisine et une bonne nutrition.

Pour vous aider, voici des recettes par thème.

Les biscuits:

                                               

Tuiles aux amandes                                                               Biscuits brownies 

                                               

Biscuits amaretti croquants                                                 Tuiles au sarrasin et à l’orange

                                               

Etoiles au citron                                                                        Biscuits protéinés aux pépites de chocolat    

                                               

Sablés de Noël aux épices                                                         Biscuits sablés à la vanille

                                              

Sablés                                                                                             Biscuits aux flocons d’avoine

Les cookies :

                                                 

Cookies moelleux au quinoa et pépites de chocolat            Cookies aux noisettes et aux canneberges

                                               

 Cookies moelleux au quinoa et aux canneberges             Cookies choco-noix

                                            

Cookies coco- canneberges                                                 Cookies au chocolat sans oeuf

Biscuits et cookies sans oeuf:

                                          

Sablés de Noël aux épices                                                  Cookies aux noisettes et aux canneberges

Cookies au chocolat

Biscuits et cookies sans gluten:

                                         

Tuiles au sarrasin et à l’orange                                     Cookies aux canneberges

                                      

Biscuits sablés à la vanille                                         Cookies moelleux au quinoa et pépites de chocolat

Tuiles aux amandes

 Bonnes préparations et dégustations.